Insofar as the Schengen Agreement fails to make respect for the right to live in families a binding criteria for determining the country responsible for examining an asylum application it 'leads to absurd situations: families are scattered, either because their members produce documents delivered by different Schengen countries, or because they took different routes' (Amnesty International Report French Section, and France, Land of Asylum, July 1997).
La convention de Schengen, dans la mesure où elle ne fait pas du respect du droit de vivre en famille un critère contraignant dans la détermination du pays responsable pour l'examen d'une demande d'asile "conduit à des situations absurdes: des familles éparpillées, soit que leurs membres produisent des documents délivrés par différents pays Schengen, soit qu'ils ont suivi des itinéraires différents" (Rapport d'Amnesty International Section Française et France Terre d'Asile Juillet 1997).