Bringing down to four the number of board members, as in the case of the Canadian Broadcasting Corporation, would risk turning it into even more of select club where, between friends, they would decide on the allocation and use of taxpayers' money.
En diminuer à quatre le nombre de membres du conseil d'administration, comme dans le cas de la Société Radio-Canada, risquerait d'en faire encore plus un petit club privé où, entre chums, on décide du sort et de l'usage de l'argent des contribuables.