The Commission argued that, as part of a comprehensive immigration policy, the adoption of common procedures for labour migrants could to a certain extent also reduce pressure on channels for humanitarian admission and that illegal migrants would be further deterred by more effective joint action against smuggling and trafficking.
Elle a fait valoir que, dans le cadre d'une politique globale sur l'immigration, l'adoption de procédures communes pour les travailleurs migrants pourrait, jusqu'à un certain point, diminuer aussi les pressions qui s'exercent sur les canaux d'admission pour des motifs humanitaires, et qu'une action commune plus efficace contre les activités des passeurs et la traite des êtres humains aurait un effet dissuasif sur les immigrés en situation irrégulière.