In its decision, the Commission allowed the use of the so-called vectoring technology, provided Germany offered virtual access products to replace the physical access lost due to the use of vectoring.
Dans sa décision, la Commission autorisait l'utilisation de la technologie dite «de vectorisation», pour autant que l'Allemagne propose des produits d'accès virtuel pour remplacer l'accès physique disparu en raison de la vectorisation.