Because of the scarcity of needles and syringes in prison, people who inject drugs in prison, including those with addictions, are more likely to share injecting equipment than those in the community, thereby increasing their risk of contracting HIV and HCV.
Étant donné la rareté des aiguilles et des seringues dans les prisons, les consommateurs de drogues injectables, y compris les toxicomanes, sont plus susceptibles de partager le matériel d'injection dans les prisons que dans la collectivité, augmentant de ce fait le risque de contracter le VIH et le VHC.