If anyone had suggested to Mr. Mulroney, when he was presiding over the largest parliamentary majority in Canadian history, that two elections hence his glorious party would be reduced to two seats in the Commons, everyone would have laughed.
Si quelqu'un avait prédit à M. Mulroney, alors qu'il dirigeait l'une des plus fortes majorités parlementaires de l'histoire canadienne, que deux élections plus tard son glorieux parti ne compterait plus que deux députés à la Chambre des communes, tout le monde se serait esclaffé.