Can the minister, who knows Quebec well, deny that the establishment of a federal securities commission would go against Quebec's position and marginalize the Quebec institutions working in this area, while reducing their ability to intervene?
Le ministre, lui qui connaît bien le Québec, peut-il nier que la mise en place d'une commission fédérale des valeurs mobilières irait à l'encontre des positions du Québec et aurait pour effet de banaliser les institutions québécoises oeuvrant dans ce domaine tout en affaiblissant leur capacité d'intervention?