Given the reasonably high investment share (24.8% of GDP in 2002), declining government deficits and domestic-driven growth, Croatia should demonstrate a fairly good resilience to external shocks.
Étant donné la part assez élevée des investissements (24,8 % du PIB en 2002), la diminution du déficit public et la croissance endogène, l'économie croate devrait faire preuve d'une assez bonne résistance aux chocs extérieurs.