Further, our authors supported the recommendation of the Wilson committee going back to mid-2008, which would have seen the onus switch to government to explain why a proposal should not go forward, as opposed to leaving the onus on a foreign investor to explain to all Canadians why an economic net benefit would be manifested if the acquisition were to go forward.
Par ailleurs, les auteurs du document ont appuyé la recommandation du comité Wilson, qui remonte au milieu de l'année 2008, selon laquelle il serait préférable de laisser au gouvernement le soin d'expliquer pour quelle raison une proposition ne devrait pas aller de l'avant, plutôt que de laisser l'investisseur étranger expliquer à tous les Canadiens pourquoi un avantage économique net découlerait de l'acquisition.