Uribe's government has been accused by international human rights organizations of corruption, electoral fraud, complicity in extrajudicial killings by the army, links to paramilitary and right-wing death squads and the use its security forces to spy on the supreme court of Colombia, opposition politicians, government politicians and journalists.
Les organisations internationales des droits de la personne ont accusé le gouvernement Uribe de corruption, de fraude électorale, de complicité lors d'assassinats extrajudiciaires par l'armée, de liens avec les paramilitaires et les escadrons de la mort de la droite et d'utilisation des forces de sécurité de l'État pour espionner la Cour suprême de la Colombie, les politiciens de l'opposition et du gouvernement et les journalistes.