So let us forget about Nice now, and think about post-Nice –and you will forgive me if I pin my hopes on the plan for a grand convention advanced by Belgium for its Presidency, because the evidence is there, we must do something new, we must change the method, we must accelerate history: 2004 is too late, it is too far off, it is too dangerous.
Alors, oublions Nice, regardons l'après-Nice - et vous me permettrez de placer mon espoir dans le projet de grande convention avancé par la Belgique pour sa présidence, car la preuve est faite, il nous faut faire du neuf, il nous faut changer de méthode, il nous faut accélérer l'histoire : 2004 c'est trop tard, c'est trop loin, c'est trop dangereux.