Then there was the Canadian police board and the many academics I asked about this question—psychologists, etc., and people who are criminal lawyers and who deal with the Criminal Code—who felt there was this grey area that covered the issue of digital media and that did not clarify certain things.
Il y a eu ensuite l'Association canadienne des commissions de police et les nombreux universitaires que j'ai interrogés sur cette question — notamment des psychologues et des criminalistes qui utilisent le Code criminel —, qui estimaient qu'il y avait une zone grise entourant la question des médias numériques et qu'il manquait de clarté à certains égards.