The Advocate General concludes, in that connection, that the Italian Government was entitled to adopt provisional measures on the basis of Regulation No 259/93, provided that it had detailed grounds for considering, as a result of new information or a reassessment of existing information, that the use of the food in question endangers human health or the environment.
L'avocat général en déduit que le gouvernement italien était en droit, en application du règlement communautaire nº 258/97, d'adopter des mesures provisoires, à la suite de nouvelles informations ( ou d'une réévaluation des informations existantes ) , puisqu' il avait des raisons précises de penser que l'usage des aliments en cause mettait en danger la santé humaine ou l'environnement.