In qualitative interviews I have done with Thai and Guatemalan workers, they have indicated they have taken out significant loans in order to be able to pay fees to recruiters for what they think will get them access into programs we have in Canada, and in some cases they have ended up not even getting a work permit.
Les travailleurs thaïlandais et guatémaltèques avec lesquels j'ai eu l'occasion de m'entretenir lors des entrevues qualitatives, ont affirmé avoir emprunté des sommes énormes pour pouvoir verser les honoraires des recruteurs simplement pour avoir l'impression de pouvoir accéder aux programmes que nous avons au Canada, et que dans certains cas ils avaient fini par ne même pas obtenir un permis de travail.