We did a study of rooming house conditions a few years ago and found instances, for example, where people had no locks on their own doors and there were no locks on the main door to the building, so that essentially the general public, including drug dealers and drug users, were going through the building all the time.
Nous avons fait une étude sur les maisons de chambre il y a quelques années et nous avons trouvé par exemple des cas où il n'y avait même pas de serrure à la porte des chambres ni à la porte d'entrée de l'immeuble, de sorte que n'importe qui, y compris des trafiquants de drogue et des toxicomanes, entraient dans l'immeuble et en sortaient comme si c'était un moulin.