In the same study that produced the above results, 52 per cent of stalkers were found to have a history of drug or alcohol abuse, 30 per cent had some form of mental illness, 49 per cent had previously shown violent physical behaviour or had been abusive, and 30 per cent had stalked another person at some time.
Ainsi, dans l'étude qui a débouché sur les résultats susmentionnés, on apprend que 52 p. 100 des agresseurs avaient des antécédents d'alcoolisme ou de consommation de drogues, que 30 p. 100 avaient souffert de maladies mentales, que 49 p. 100 avaient déjà eu un comportement marqué par la violence physique ou autre, et que 30 p. 100 avaient déjà agressé d'autres personnes.