Mr Lambsdorff, I wish to say to you that for me and for the German Government neither the Summit nor the positive comments are cause for complacency. However, I remain convinced that, nonetheless, a degree of confidence is necessary for the remainder, the second half, of our Presidency, or at least it will do no harm.
Monsieur Lambsdorff, je voudrais préciser que, malgré la réussite que fut ce sommet et les commentaires positifs, le gouvernement allemand, moi y compris, ne se reposera pas sur ses lauriers. Néanmoins, je reste convaincu que pour le reste, la seconde moitié, de notre présidence, nous avons besoin de votre confiance, ou du moins qu’elle ne nous fera pas de mal.