The ethics counsellor—if he were doing his job properly—would have found Dingwall guilty way back in 2000 and reported it publicly to Parliament, which hopefully would have curtailed David Dingwall's activities as a lobbyist.
Si le conseiller en éthique avait bien fait son travail, il aurait constaté la culpabilité de Dingwall dès 2000; il l'aurait signalé publiquement au Parlement, ce qui normalement, aurait mis un terme aux activités de lobbyiste de David Dingwall.