The fact is that, firstly, what we are dealing with here is an oppressed people, obliged to contend with one of the last of the Communist dictatorships that have been in existence since the Second World War, or, in this instance, since the 1960s; secondly, Cuba continues to be what one might call a source of infection for Latin America.
En fait, premièrement, nous avons affaire dans ce cas-ci à un peuple opprimé, obligé de se battre contre l’une des dernières dictatures communistes en place depuis la Seconde Guerre mondiale, ou, en l’occurrence, depuis les années 1960. Deuxièmement, Cuba demeure ce que l’on pourrait qualifier de foyer d’infection pour l’Amérique latine.