Although they have continued to travel, Europeans have adapted their behaviour to circumstances, in particular by preferring less distant destinations and reducing the length of stay or their spending.[8] Tourist activity in Europe therefore fell by approximately 5.6 % in 2009.
Bien qu’ils aient continué à voyager, les Européens ont adapté leurs comportements aux circonstances, notamment en privilégiant des destinations plus proches, en réduisant la durée de leur séjour ou leurs dépenses sur place[8]. Ainsi, l’activité touristique en Europe a reculé d’environ 5,6% en 2009.