In terms of labour law, it is hard to believe that in Quebec, where there is a provincial law, workers, as my colleague from Trois-Rivières so rightly said, have the right to work in their language at a credit union, but not in a bank.
Par rapport au droit du travail, j'ai de la difficulté à m'imaginer qu'au Québec, où il y a une loi provinciale, les travailleurs, comme le collègue de Trois-Rivières l'a si bien dit, ont le droit de travailler dans leur langue dans une caisse populaire, mais pas s'ils travaillent dans une banque.