Governments and Commission officials have been faced with having to act upon the scientific opinion of the day, and whilst recognising the overriding importance of public health, it must be stressed that until early 1996, the vast majority of this scientific opinion was that BSE remained a veterinary problem.
Tant les gouvernements que les fonctionnaires de la Commission ont été contraints d'agir en fonction des avis scientifiques du moment et, sans méconnaître l'importance primordiale de la santé publique, il y a lieu de souligner que jusqu'au début de 1996, la grande majorité des scientifiques considéraient que l'ESB était un problème relevant du domaine vétérinaire.