En réponse à la cinquième recommandation, nous appuyons la proposition du ministre des Finances visant à modifier la réglementation de l'impôt sur le revenu afin d'autoriser l'utilisation de fonds
canadiens pour les divers prêts consentis par la SEE et par certaines autres institutions financières internationales, sans qu'elles aient à considérer ces éléments d'actifs comme étant de propriété étrangère et donc soumis à la limite de 20 p. 100. Il faudrait encourager la SEE à profiter de cette disposition et à vendre de
s intérêts dans son portefeuille de prêts. ...[+++]