And beyond that, ask why it is that someone like Mr. Mahjoub, a refugee who has never been charged with, much less convicted of, anything, must go to the point of death—77 days without food—for basic human rights such as health care and touch visits with his children, the kinds of visits that are allowed under the Saudi dictatorship prisons, under Egyptian prisons, but not in Canadian prisons like the ones in which Mr. Mahjoub and the other detainees are being held.
Demandez-leur également pourquoi quelqu'un comme M. Mahjoub, un réfugié qui n'a été ni accusé ni condamné de quoi que ce soit doit faire la grève de la faim pendant 77 jours et frôler la mort pour qu'on respecte ses droits fondamentaux à des soins de santé et à des visites contact avec ses enfants, le genre de visite permise dans les prisons de la dictature saoudienne et dans les prisons égyptiennes, mais pas dans les prisons canadiennes comme celles où M. Mahjoub et d'autres réfugiés sont détenus.