Mr. Chrétien, like most Quebecers, was also a free trader, as was as his mentor, Mitchell Sharp, but succumbed to protectionist sentiments from time to time as Minister of Energy and was ambivalent about his relationship from time to time with the United States leadership.
Comme la plupart des Québécois, M. Chrétien était aussi un partisan du libre-échange, à l'instar de son mentor, Mitchell Sharp, mais il a succombé à la tentation protectionniste de temps à autre en tant que ministre de l'Énergie. Il était parfois ambivalent dans ses relations avec les dirigeants des États-Unis.