In order to be convinced, we need only see that the three countries of the Union that have not adopted the euro and have preserved their monetary sovereignty are doing much better than the twelve that have chosen, within the framework of the European currency, to link their destinies and to entrust them to a veritable State Bank, a supreme bank that does not care two hoots about growth in Europe.
Il suffit d’ailleurs pour s’en convaincre de voir que les trois pays de l’Union qui n’ont pas adopté l’euro et qui ont conservé leur souveraineté monétaire s’en sortent beaucoup mieux que les douze qui ont choisi, dans le cadre de la monnaie européenne, de lier leur destin et de le confier à une véritable banque-État, une banque souveraine qui se fiche comme de l’an quarante de la croissance en Europe.