Launched last month, the coordinated EU-wide testing for horsemeat DNA and phenylbutazone requested, and co-financed, by the European Commission in the wake of the horsemeat scandal has revealed that less than 5 % of the tested products had horse DNA and that about 0.5 % of the equine carcasses tested were found to be contaminated with bute.
Lancés le mois dernier, les tests organisés à l'échelle de toute l'Union européenne pour établir la présence d'ADN de cheval et celle de phénylbutazone , demandés et cofinancés par la Commission européenne à la suite du scandale lié à la viande chevaline, ont révélé que moins de 5 % des produits analysés contenaient de l'ADN de cheval et que 0,5 % environ des carcasses de cheval analysées contenaient des résidus de phénylbutazone.