Due to substantial differences in unemployment rates between EU Member States, the rising number of persons wanting to move has partly materialised in increased mobility since 2011 but only to a limited extent and not as much as would be needed to have a real equilibrating role against the huge imbalances across EU labour markets.[9]
En raison des écarts importants entre les taux de chômage des divers États membres de l’UE, le nombre croissant de personnes qui souhaitent s’installer dans un autre pays s’est traduit en partie par une mobilité accrue depuis 2011, mais seulement dans une proportion limitée, insuffisante pour que ce phénomène puisse réellement corriger les déséquilibres considérables qui existent entre les marchés du travail de l’UE[9].