The day before yesterday, when the President of the Hungarian Republic held discussions with President Tadic in a good atmosphere, 15 kilometres from the borders of the European Union, in Szabadka-Subotica, the word ‘death’ was painted on the front door of the house of the man who first dared to complain publicly about the physical injuries he had sustained.
Avant-hier, au moment où le président de la République de Hongrie s’entretenait avec le président Tadic dans une atmosphère sereine, à 15 kilomètres des frontières de l’Union européenne, à Szabadka-Subotica, le mot «mort» était peint sur la porte d’entrée de la maison de l’homme qui a été le premier à oser se plaindre publiquement des blessures physiques qu’on lui avait infligées.