If we find that someone, for example, is a known terrorist or a convicted criminal, or if they've been deported from Canada before—or let's say they've made a refugee claim in Australia or New Zealand and have been rejected and now are making one in Canada—in those instances we will be able to identify that person against our databases or those of certain foreign partners.
Bien sûr, nous continuerons aussi à mettre à profit les ententes d’échange de renseignements que nous avons conclues avec nos partenaires internationaux. Par exemple, en présence d'un terroriste ou d'un criminel reconnu, ou d'une personne qui a déjà été expulsée du Canada — ou, disons, d'une personne qui fait une demande d'asile au Canada après avoir essuyé un refus en Australie ou en Nouvelle-Zélande —, nous pourrons identifier cette personne grâce à nos bases de données ou à celles de certains partenaires étrangers.