Similarly, during this period, the Canadian Mental Health Association fought to change the language used in legislation, and that also appeared in public discourse, that referred to individuals with mental illness as “idiots”, “imbeciles”, and “lunatics”.[339]
Durant cette période également, l’Association canadienne pour la santé mentale lutte pour modifier la terminologie employée dans les lois, et parfois dans la publicité, qui qualifie les personnes souffrant de maladie mentale d’« idiots », d’« imbéciles » et d’« aliénés ».[339]