This principle in reality then implies to much of the outside world, particularly in the EU, that in order to reach a 50% global reduction, developed countries, including Canada, would need to reduce their emissions at a much higher level than 50% by 2050.
Dans les faits, ce principe signifie pour une bonne partie du reste de la planète, et surtout pour l'Union européenne, que pour atteindre l'objectif mondial de 50 p. 100 de diminution, il faudra que les pays développés, y compris le Canada, réduise leurs émissions dans une proportion beaucoup plus large que 50 p. 100 d'ici 2050.