Even though it can more or less be inferred that what we are talking about here are violent and repressive regimes or forms of, in particular, religious belief, the report does not successfully distinguish between what, in that case, is to be viewed as fundamentalism and what are to be regarded as ordinary religion and religious institutions.
Même si l'on peut supposer que, dans une certaine mesure, il s'agit de régimes cruels et répressifs ou d'une forme de foi religieuse, par exemple, cela n'explique pas le fait que le rapport fasse une distinction entre ce qui doit être qualifié de fondamentalisme, de vision de la religion et de communautés religieuses en général.