But the policy instruments the government chooses, if it ratifies Kyoto—and we assume the Government of Canada will still keep that question for 2002—can either further hurt or hurt tremendously our competitive position, because, as I say, we compete against the rest of the world for the U.S. market, and a good chunk of our competitors will not have any obligations with respect to Kyoto.
Mais les outils d'intervention choisis par le gouvernement, si celui-ci ratifie l'accord de Kyoto—et nous supposons que le gouvernement du Canada a toujours l'intention d'étudier la question en 2002—peut nuire encore ou même porter un très grave préjudice à notre capacité compétitive, car, comme je l'ai dit, nous affrontons la concurrence du reste du monde sur le marché américain, et bon nombre de nos concurrents ne seront pas assujettis aux obligations découlant de l'accord de Kyoto.