A Europe that has created for itself a single currency, that seeks to harmonise laws, legislation, statutes and institutions, that has created a central bank and that has established the Schengen area, cannot be reduced to a game in which national interests prevail over community interests, and where policy is fast taking the place of the market.
Une Europe qui s’est dotée d’une devise unique, qui tente d’harmoniser ses lois, ses normes, ses règlements et ses institutions, qui a créé une banque centrale et établi l’espace Schengen, ne peut se réduire à un jeu dans lequel les intérêts nationaux prévalent sur les intérêts communautaires et où la politique se substitue rapidement au marché.