When Canadians want to impose unilateral changes to international law, in the case of, for example, the 200-mile limit in the mid-90s, or imposing a pollution zone in 1970, utterly at variance with international law, Canadians applaud.
Quand les Canadiens veulent imposer des changements unilatéraux au droit international, par exemple dans le cas de la limite des 200 milles, au milieu des années 90, ou, en 1970, en imposant une zone de pollution complètement contraire au droit international, les Canadiens applaudissent.