Much of their testimony focused on the economic value of the base and the international flight-training program, which according to a study referenced by the witnesses concluded that the federal government recovers in taxes most if not all of its net cost from the increased economic activity at the base.[1] If so, there would be almost no cost to the general Canadian taxpayer for the military, security and international relations value of the base.
L’essentiel de leur témoignage met l’accent sur l’importance économique de la base et du programme de vols d’entraînement internationaux qui, selon les conclusions d’une étude citée par eux comme source de référence, permet au gouvernement fédéral de recouvrer sous forme de taxes la majorité si ce n’est la totalité de ses coûts nets, grâce à l’activité économique accrue à la base[1]. Dans ce cas, il n’en coûterait pratiquement rien au contribuable canadien moyen pour conserver à la base son utilité du point de vue militaire, de la sécurité et des relations internationales.