Representatives from women’s associations in particular feared that the provisions of article 4(1) could be used to prohibit abortions in Canada,[115] or even prevent access to some contraceptives such as the “morning-after pill”, intra-uterine devices or RU-486, which act after conception.[116] Even though article 4(1) does not impose an obligation to prohibit abortions, it may impose an obligation to regulate them.
Les représentants d’associations de femmes notamment craignent que les dispositions de l’article 4(1) puissent être utilisées pour interdire l’avortement au Canada[115] ou même empêcher l’accès à certains contraceptifs comme la «pilule du lendemain», les dispositifs intra-utérins ou le RU-486, qui agit après la conception.[116] Même si l’article 4(1) n’impose pas l’obligation d’interdire les avortements, il peut imposer l’obligation de les réglementer.