While there is currently a shift towards more domestic demand-driven growth, both consumption and investment remain muted as a share of GDP despite the favourable cyclical and financing conditions and the infrastructure investment needs for which there is fiscal space.
Si on constate aujourd'hui une évolution vers une croissance davantage tirée par la demande intérieure, tant la consommation que l'investissement restent atones en tant que part du PIB malgré les conditions cycliques et de financement favorables et les besoins d'investissement dans les infrastructures pour lesquels il existe une marge de manoeuvre budgétaire.