Concernant l'autre argument, repris par Mme Van Lancker, qui est de savoir si, par hasard, nous ne serions pas trop demandeurs à l'égard d'un certain nombre de pays en développement en matière d'ouverture des services, je rappelle tout d'abord que beaucoup de pays en développement ont besoin de services
compétitifs ; que, dans la plupart de leurs économies, la part des services qui, aujourd'hui, chez nous, s'élève à 60 % est, chez eux, comprise entre 40 et 50 %, ce qui est considérable ; qu'ils sont eux-mêmes demandeurs d'une libéralisation du marché des services, notamment chez nous ; et qu'enfin, concernant la question du service pu
...[+++]blic, je ne souhaite pas que l'on tombe systématiquement dans ce que j'appellerai "l'euromorphisme".