If it is true that these women, or these men, are the first victims of globalisation and ultra-liberal neo-slavery, then the way to prevent their falling into all kinds of horrible traps (ill-treatment, violence or sexual abuse) is to make it possible for them to stay in their country of origin in the first place.
S’il est vrai que ces femmes, ou ces hommes, sont les premières victimes de la mondialisation et du néo-esclavagisme ultra libéral, la solution pour leur éviter de tomber dans bien d’horribles pièges (mauvais traitements, violences ou abus sexuels) réside d’abord dans le fait de leur permettre de rester dans leur pays d’origine.