I believe now, as I believed when I first began working
with the member for Kitchener—Waterloo and the member for Windsor—Tecumseh as co-chairs of the Parliamentary Committee on Palliative and Compassionate Care, that if people are given a reason to live, feel their lives are relevant and significant, truly do not feel that t
hey are a burden on society or especially on their families, and are enabled to live pain-free, they just might be less inclined to turn to more desperate measures as a relief from the emotional, mental, or physic
...[+++]al pain from which they suffer.
Je crois maintenant, tout comme c'était le cas lorsque j'ai commencé à travailler avec les deux autres coprésidents du Comité parlementaire sur les soins palliatifs et soins de compassion, les députés de Kitchener—Waterloo et de Windsor—Tecumseh, que, si on donne aux gens une raison de vivre, s'ils sentent que leur vie est importante, s'ils n'ont pas l'impression d'être un fardeau pour la société ou, pis encore, pour leur famille, et si on réussit à soulager leurs douleurs, ils seront sans doute moins enclins à opter pour des mesures désespérées visant à soulager la souffrance émotionnelle, mentale ou physique qu'ils endurent.