In fact, the then minister of finance referred to the Canadian corporate sector as the job creators and made the leap of believing that if we were to cut corporate taxes to far lower than any other country in the OECD, in fact to half the corporate tax rate of the United States, the job creators, the large corporations, would plow that money back into job creation.
En effet, le ministre des Finances de l'époque avait affirmé que les grandes sociétés canadiennes étaient les créateurs d'emplois par excellence et que, partant de cette conviction, si nous réduisions leur taux d'imposition bien plus que tout autre pays de l'OCDE — plus précisément, à la moitié de celui des États-Unis — , les créateurs d'emplois, les grandes sociétés, réinjecteraient cet argent dans la création d'emplois.