The reason that should not surprise Department of Defence officials is that in 2003 the late Supreme Court of Canada Chief Justice, Antonio Lamer, having reviewed the National Defence Act, recommended that, just as in a criminal court, the power to choose the type of court martial be in the hands of the accused, and not the Crown.
La raison pour laquelle cela ne devrait pas prendre par surprise les autorités du ministère de la Défense, c'est qu'en 2003, feu le juge en chef de la Cour suprême du Canada, Antonio Lamer, suite à l'examen de la Loi sur la défense nationale, avait recommandé qu'à l'instar des cours criminelles on donne à l'accusé, non à la Couronne, le pouvoir de choisir le type de cour martiale.