The Commission considered that very significant counterparts were essential to compensate competitors for the distortion of competition, totalling at least 310 billion francs (based on 1994 accounts), in the form of cessions of subsidiaires and closure of banking outlets, principally in Europe.
La Commission a considéré que des contreparties très importantes pour compenser les concurrents pour les distorsions de concurrence subies étaient indispensables, d'un montant minimal de 310 milliards de francs (base comptable bilan 1994), sous forme de cessions de filiales et de fermetures d'agences de la banque, principalement en Europe.