The occasion was, of course, once again the so-called Galvin report, the internal report in which many of the practices of Members of the European Parliament are disclosed which, if OLAF were to use the same standards, would have led to large-scale investigations, including one of Herbert Bösch, who refers to himself as the father of OLAF.
L’occasion fut bien sûr, une nouvelle fois, le rapport dit Galvin, le rapport interne qui dévoile de nombreuses pratiques de députés européens et qui, si l’OLAF devait utiliser les mêmes normes, auraient entraîné des enquêtes de grande envergure, y compris à propos de M. Herbert Bösch, qui se qualifie lui-même de père de l’OLAF.