One of the problems is that statistics are actually still relatively scarce, but wherever these statistics have been collected—and most recently, just a couple of weeks ago, the Toronto Police Service issued its statistics—those statistics have shown time and again that gay people, lesbian people, and those perceived to be gay or lesbian—because in some cases, if you're in the wrong place at the wrong time or if you're perceived to be gay or lesbian, you're targeted even though you may not be gay or lesbian—are in fact principal targets for hate crimes.
L'un des problèmes est que les statistiques sont encore relativement peu nombreuses, mais d'où qu'elles viennent—et récemment, il y a deux ou trois semaines seulement, le service de police de Toronto a diffusé ces statistiques—elles montrent encore et toujours que les gais, les lesbiennes et les personnes qui sont perçues comme étant gais ou lesbiennes—parce qu'il peut arriver à quelqu'un d'être au mauvais endroit au mauvais moment, ou d'être perçu comme étant gai ou lesbienne et d'être ciblé même si ce n'est pas le cas—sont en fait les principales cibles des crimes motivés par la haine.