The minister can say and do what he likes, but can he deny that the CIO, for which he is responsible, is nothing more than a propaganda tool that makes it possible for Liberals to use public money not just for partisan politics in Quebec, but also to reward friends of the party?
Le ministre a beau dire et a beau faire, mais peut-il nier que le BIC, dont il est responsable, n'est qu'un organisme de propagande qui permet aux libéraux d'utiliser les fonds publics, non seulement pour faire de la politique partisane au Québec, mais également pour récompenser leurs petits amis?