I refer to the audit of the Auditor General, in chapter 2, where we found that the administration would “limit the value” of FINTRAC's disclosure to law enforcement and security agencies, and it goes on and on: law enforcement agents told us the tombstone data they receive is “too limited to justify launching investigations”.
Je songe au rapport de la vérificatrice générale, au chapitre 2, où il est dit que l'administration se trouverait à limiter la valeur de l'information transmise par le CANAFE aux organismes d'application de la loi et de sécurité, et on en remet: des responsables de l'application de la loi nous ont dit que les données de base qui leur sont transmises « ne suffisent pas pour justifier l'ouverture d'une enquête ».