In Upper and Lower Canada, the Constitutional Act, 1791, adopted by the British Parliament, was silent on the privileges of the Legislatures, although by 1801 the Speaker of the Legislative Assembly in Upper Canada claimed “by the name of the Assembly, the freedom of speech and generally all the like privileges and liberties as are enjoyed by the Commons of Great Britain our Mother Country”.
Dans le Haut et le Bas-Canada, la Loi constitutionnelle de 1791, adoptée par le Parlement britannique, restait muette sur les privilèges des assemblées législatives; en 1801, cependant, le Président de l’Assemblée législative du Haut-Canada revendiqua « au nom de l’Assemblée, la liberté de parole et, de façon générale, tous les privilèges et libertés dont bénéficie la Chambre des communes de Grande-Bretagne, notre mère patrie ».